Animal's tears

"Le varan de Komodo est le lézard le plus imposant au monde.

On ne le rencontre que dans les régions semi-arides et tropicales des îles du sud de l'Indonésie: Komodo, Florès, Rintja et Padar. L'un des plus grands carnivores actuels, il mesure en moyenne 2,50 mètres et pèse 165 kilos, bien qu'on ait recensé des spécimens pouvant dépasser les 3 mètres de long. Certains disent qu'ils ont une espérance de vie d'en moyenne 20 ans mais d'autres disent qu'il peuvent vivre pendant une durée de 100 ans.

Ce reptile vieux de plus de 140 millions d'années, a survécu grâce à des caractéristiques morphologiques telles que :
Epaisse cuirasse d'écailles ossifiées
Longues griffes acérées
Queue puissante
Dentition redoutable de soixante dents crénelées"

C'est quanf même beau cet animal, non? Mais je n'aimerais pas trop en rencontrer un... à part si il est dressé...^^

C'est pas trop chou? JE suis tombée "amoureuse" c'est vraiment adorable... quand tu en tiens une dans ta main, c'est vraiment mignon, doux... MAis, ça tente de s'échapper... c'est vraiment marrant, j'aime bien... et vous? vous aimez les gerbilles?

QUELQUES CHIFFRES A LIRE ABSOLUMENT

300 000 >> C'est ce que déverse, en tonnes chaque jour, dans l'Amazone, une société qui extrait des minéraux de manière plus ou moins officielle mais certainement intensive. On retrouve dans ce fleuve des matières très toxiques comme le plomb ou le mercure.

5 >> Pourcentage que représente la quantité d'eau douce de l'Amazone sur notre planète.

62 000 >> Nombre de pirates des mines évalué par le gouvernement du pays, chiffre probablement inférieur à la réalité.

30 000 >> Nombre de licences concédées par le gouvernement pour l'exploitation des mines

75 millions >> Expression en mètres cubes, de la quantité de bois exploitée chaque année mais le gouvernement ne délivre des licences que pour 25 millions.

70 >> Taux de mercure qui est 70 fois supérieur aux normes internationales dans une rivière de l'Amazonie (Sulawesi). Ce taux est en relation avec le déversement de 300 000 tonnes de déchets de ladite société d'exploitation

25 >> Pourcentage moyen de la croissance de déforestation en Amazonie chaque année

1/3 >> Représentativité à elle seule de la forêt amazonienne sur le reste des forêts tropicales

30 000 >> Nombre d'espèces déjà été identifiées en forêt amazonienne

1 000 >> Nombre d'espèces d'oiseaux qui ont été dénombrées

30 >> Nombre d'espèces de singes dénombrées

3 000 >> Nombre d'espèces de poissons recensées, également 2 espèces uniques de dauphins d'eau douce

3,7 millions >> Superficie en km² de la forêt amazonienne brésilienne. Pour comparaison cela représente la taille de l'Europe de l'Ouest

4,2 millions >> Surface totale en km² de la forêt amazonienne

1,7 millions >> Superficie en hectare qui a disparu en 1997

80% >> Pourcentage d'exploitation illégale du bois au Brésil

70% >> Pourcentage de bois exploité en scierie et qui se termine en déchets

23 000 >> Nombre de km² en concession forestière

8 >> Nombre des plus grosses entreprises forestières mondiales qui se partagent la concession de 23000 km²

2/3 >> Taux de la forêt amazonienne qui était intact en 1999

- de 2 >> Pourcentage que couvre la forêt amazonienne sur notre planète

70 >> Pourcentage d'espèces du monde que l'on peut trouver dans cette forêt

70 >> Pourcentage de plantes d'Amazonie utilisées dans la lutte contre le cancer

1 >> Pourcentage (infime) de plantes d'Amazonie, étudiées pour leur propriétés médicinales

7025 >> Longueur en km, du fleuve Amazone

1100 >> Nombre représentant les principaux affluents de l'Amazone

30 500 >> Nombre de km qui constitue les voies navigables de l'Amazone

10 >> Largeur en km de l'Amazone dans son cours inférieur

5 >> Taux (en %) de pénétration de la lumière dans la forêt jusqu'au sol

5 à 7 millions >> Nombre d'indiens qui vivaient en Amazonie au 16ème siècle

250 000 >> C'est ce qu'il en reste aujourd'hui

900 >> Taux d'accroissement (%) de la population non indienne dans la forêt de 1955 à 1985

2020 >> Année prévisionnelle de disparition de la forêt amazonienne (dans les données pro forma 1997)

50 >> Pourcentage de terres que possède 1% de la population (propriétaires terriens)

20 >> Pourcentage d'augmentation en 1999 de l'exportation de bois, en raison de la dévaluation du Réal brésilien

Vous voyez, la planète est en danger flagrant... (enfin, plutôt la forêt amazonienne mais bon, c'est un peu pareil) il faut réagir!

un barage d'un castor... je vous laisse le comptempler...

Quel magnifique petit être cette grenouille, mais, qui disparit pourtant de plus en plus alors qu'on ne s'en apreçoit même pas... c'est bien dommage pour ce petit animal si mignon... quelques photos...

et bien oui, jusqu'à présent, je n'ai parlé que des animaux, il faut parler pourtant des 2 sujets de ce blog.

ASTUCES POUR AIDER A LA PRESERVER

Petit rappel : (pris sur: http://naturendanger.canalblog.com )

Une maison plus saine, un travail et des loisirs moins polluants, un mode de vie plus écologique... Pour vivre mieux, nous devons d'abord respecter notre environnement. Ne pas gâcher l'eau, choisir un réfrigérateur en fonction de sa consommation, économiser le papier en imprimant recto-verso... Ces petits gestes prennent peu de temps et font du bien à la planète - comme d'ailleurs, à notre porte-monnaie. Chacun peut les accomplir sans effort. Encore faut-il agir avec discernement.
Et vivre mieux, c'est d'abord améliorer son environnement quotidien : mieux s'alimenter, nettoyer sans polluer, bien trier, se chauffer intelligemment... et repérer les vrais bons gestes.

J'aère au lieu d'utiliser des désodorisants
Ouvrir ses fenêtres, même en ville, est le moyen le plus écologique de chasser les mauvaises odeurs. Des tests réalisés par le magazine Que Choisir ? révèlent que la majorité des désodorisants d'intérieur contiennent des substances cancérigènes, comme le formaldéhyde (1) et le benzène (2). Les plantes telles que l'azalée, le ficus benjamina, le caoutchouc et le schefflera ont des propriétés dépolluantes : elles absorbent les toxiques par leurs feuilles ou leurs racines.

J'équipe ma maison de capteurs solaires

L'installation, plutôt coûteuse (entre 3.000 et 25.000 €), n'est rentable qu'au bout de nombreuses années (10 ans en moyenne, contre 3 ans pour un chauffage au bois). Dans le cadre d'une filière bois-énergie bien gérée, ce dernier n'aggrave pas le réchauffement de la planète : le CO2 libéré pendant la combustion correspond à celui qui a été absorbé pendant la croissance des arbres. L'équipement solaire reste très intéressant pour les collectivités : Montmélian, une ville savoyarde de 4.000 habitants, s'est pourvue de 1.000m2 de panneaux solaires. La facture municipale de gaz a diminué de 74%, et le rejet annuel de gaz à effet de serre, de 60 tonnes.

Je trie tous mes déchets
Le tri permet notamment le recyclage des plastiques : une tonne recyclée permet d'économiser 600 à 800 kg de pétrole brut. Mais le "tout-tri" n'est pas la panacée. Pour fonctionner, les incinérateurs ont besoin d'être "nourris" d'un minimum de matières recyclables, comme les ordures organiques ou le plastique. Inutile de trier l'emballage du jambon : gras, il sera d'emblée incinéré.
De toute façon, le tri le plus méticuleux ne règle pas le problème du volume croissant de déchets. Mieux vaut réduire celui-ci à la ressource en évitant les produits qui nécessitent beaucoup d'emballages (40% du contenu de nos poubelles) ou en posant un autocollant "Stop pub" sur sa boîte aux lettres (le courrier non adressé représente un million de tonnes de déchets par an), un geste déjà accompli par plus d'un million de ménages. De toute féaçon, sur les 360Kg annuels de déchets produits par chaque Français, seuls 20% sont recyclés. Le ministère de l'Ecologie a fixé l'objectif de 250Kg d'ici à 2010, et 200 d'ici à 2015.

Je brûle moi-même mes déchets
Les incinérateurs sont responsables du tiers des rejets de dioxine dans l'atmosphère. Brûler ses déchets "naturellement" peut donc sembler une bonne idée. C'est tout le contraire ! La fumée dégagée est mille fois plus polluante que celle des incinérateurs. Mieux vaut confier ses poubelles aux services publics. Un exception : le compost des matières organiques, qui représentent 20 à 30% des déchets. Si l'on vit en appartement, on peut investir environ 150€ dans un composteur à lombrics.
De la taille d'une grosse poubelle, il convient à une famille de 6 personnes. Correctement employé, il est inodore et l'humus obtenu peut être utilisé dans les plantes en pot.

Pour mon bébé, j'utilise des couches lavables à la place des jetables
Chaque nourrisson "consomme" en moyenne une tonne de couches jetables. Faut-il donc utiliser des couches en tissu, lavables ? Une étude de l'Agence Britannique pour l'Environnement, qui a planché durant quatre ans sur ce sujet, estime que couches jetables et lavables utilisent la même quantité d'énergie, de la production au nettoyage. En Grande-Bretagne et en Belgique, certaines villes proposent des services à domicile : chaque semaine, les couches lavables sont collectées et lavées selon des méthodes économes en énergie.

L'effet papillon
Le savon naturel, c'est bon pour les ours polaires

En privilégiant les cosmétiques à base d'ingrédients naturels, par exemple le savon de Marseille à la place du gel douche (mon pharmacien me les offre à chaque fois que j'effectue un achat dans son officine, il est chouette mon pharmacien), et les détergents certifiés par l'Ecolabel européen, vous faites un geste pour les ours polaires. Comment ?
En limitant la présence dans l'environnement de substances toxiques qui voyagent, en empruntant les courants aériens ou maritimes, jusqu'au bout du monde. Des prélèvements sanguins effectués sur les ours du Groenland révèlent des concentrations très élevées de pesticides, de substances ignifugées bromées (traitement anti-feu des ordinateurs), de tensioactifs (bain moussant). Ces toxines ont pour origine des villes, des champs, des industries situés à des centaines, voire des milliers de kilomètres de la banquise.
Situés au sommet de la chaîne alimentaire, les ours polaires concentrent tous les polluants accumulés dans la graisse des phoques et des poissons dont ils se nourrissent. Avec des effets sur leur croissance, des troubles du comportement et de la reproduction.

cet animal qui représente en quelques sortes les animaux en voie de disparition... c'est donc, le logo de wwf. beaucoup de personnes tentent de le sauvgarder, sans grand succès. mais, pour ma part, je pense qu'on a encore des chances d'y arriver. du moins, je l'espère.

On dirait un dessin, non? moi, je trouve que les pandas sont tellemnt beaux, ils sont trop parfaits, ce sont de vrais peluches.

Un de mes animaux préféré. je le trouve magnifique. LEs guépards sont telement... comment dire? je ne sais pas moi, majestueux, magiques, magnifiques... bref, quelques photos d'un très bel animal qui est pourtant en train de disparaître... réagissons!

un petit guépard faisant ses griffes... c'est pas mignon?

Et ben... cette petite fille a bien de la chance... elle a un don, ou alors ils sont très bien dressés!

quel camouflage incroyable...

Vous rendez vous compte que ce petit guépard est menacé d'extinction? qu'il est peut être déjà mort à l'instant où vous lisez ces lignes. n'avez vous pas envie de réagir? de lui donner une chance? de leur donner une chance? il faut réagir pour sauver cette magnifique espèce avant qu'il ne soit trop tard... réagissez!

Ce message ne sera peut être pas lu par beaucoup de monde, mais je veux quand même que, ceux qui le lisent, savent ce qui arrive à ces guépards...

Bon, comme je te l'ai dis, Lili, je vais, bien sûr, faire un article sur les chats, ces animaux si mignons, mais lâchement abandonnés au momment des départs... des petites anecdotes et des photos rien que pour vous!

ANECDOTE

les chats oubliés
"Je dirige une asbl qui a pour but d'aider les chats errants. Je suis confrontée chaque jour a des cruautés horribles envers les chats.
Je vais vous raconter l'histoire d'une formidable chatte qui est arrivée la semaine dernière.
Une dame revenant de son travail a eu la bonne surprise de décrouvrir devant sa porte une boite de plastique contenant une chatte et ses 4chatons. Ne sachant pas quoi en faire elle est arrivée chez moi en me demandant de les prendre. Lui disant que je n'avais plus de place, elle insista pour que je les regarde.
Pensant que cette boite ne contenait que des chatons, je lui laissai l'ouvrir. A ce moment, la chatte se sauva dans la rue! Lorsque je me suis approchée d'elle,quelle ne fût pas ma stupeur en la voyant. Elle avait l'air tellement apeurée,d'une maigreur atroce!
Je l'ai prise dans mes bras, je sentais ses os, presque plus de poils sur sa tête et son cou. J'en ai eu les larmes aux yeux! Elle tremblait, pensant que j'allais la battre! Je l'ai bien sûr acceptée, elle et ses chatons. Elle était affamée! Plus de lait pour nourrir ses petits à peine agés de 4 semaines. Je l'ai montrée à la vétérinaire qui elle aussi a eu les larmes aux yeux en la voyant.
D'après elle, cette pauvre chatte n'aurait plus eu à manger depuis des jours et des jours!
Je me demande comment elle a eu la force de s'occuper de ses petits.
Maintenant elle peut enfin se reposer et manger à sa faim en attendant des maitres qui lui apporteront tout l'amour qu'elle mérite. "

N'est ce pas révoltant que des gens puissent faire ça! je trouve telement... telement...grrrrrrr

PHOTOS

Voilà! ce sera tout pour le momment pour les minous... des animaux si mignons... on se demande comment on pourrait leur faire du mal, franchement...

Tout d'abord, un des animaux disparus le plus connu, le dodo:

DESCRIIPTION

Le dodo ressemblait à une grosse dinde de quelque 70 cm de haut, d'une douzaine de kilogrammes, au plumage sombre et moiré. Il avait des ailes courtes et grêles, des pattes noires, fortes et pourvues de quatre doigts jaunes. Sa queue était formée de quelques plumes assez courtes. Sa tête, en partie nue, était coiffée d'un capuchon noir et le puissant bec, jaunâtre, était allongé et recourbé. Cuvier le classa parmi les gallinacés.

Le dodo était un oiseau endémique de l'Île Maurice, vivant dans les forêts ou les plaines.

COMMENT A-T-IL DISPARU?

L'île Maurice n'ayant que 10 millions d'années, le dodo n'y avait aucun prédateur avant l'arrivée des Européens. Issu des pigeons africains, l'espèce avait évolué en oiseau coureur aux ailes atrophiées. Le dodo grattait le sol des forêts à la recherche de baies, feuilles, fruits et graines. Il participait à la germination des graines de tambalacoque. À cause de sa lourdeur, ce gros oiseau, marchant mal et incapable de voler, fut le gibier le plus facile à chasser et fut vite anéanti. Les Hollandais en tuèrent la majorité pour consommer leur chair. Ils le surnommèrent l'oiseau dégoûtant (walgvogel), mais en chargèrent leurs navires afin de disposer d'une bonne réserve de nourriture. Les animaux domestiques introduits — chats, chèvres, chiens et porcs, qui redevinrent sauvages — et les rats — qui mangèrent les œufs — ont participé à l'extinction de l'espèce, vers  1680.

Bonjour à vous tous et bienvenue!

Donc, ce blog parlera exclusivement de la nature, des animaux, et... voilà. j'espère que vous apprendrez des choses sur ce blog, et qu'il vous sera utile. j'espère le réussir, et vous apprendre toutes les choses que je suis capable de vous apprendre...

Donc, Bienvenue et bonne visite à vous tous!!!!!!